Florent a pris la décision de “tout abandonner” pour s’installer en Dordogne, dans un petit village comptant près de 900 résidents. Les chants des oiseaux ont pris la place des bruits de métro, et les matinées ont désormais une saveur de paradis.


“Il me serait impossible de revenir en arrière. Comment ai-je pu y rester si longtemps ?” s’interroge-t-il.



Après avoir réfléchi, il trouve une première explication.


“Probablement par besoin de sécurité.”



C’est aux côtés de Diana, son épouse, que Florent a traversé cette “crise existentielle“. Suite à ses études à SciencesPo Paris, elle intègre une grande banque française où elle est submergée par le stress et la surcharge mentale. C’est à ce moment qu’elle réalise que cette vie ne lui convient pas. Elle décide alors de reprendre ses études pour devenir sophrologue, un métier qui lui correspond davantage, mais dans une ville où le rythme effréné persiste.


Florent et Diana parviennent, ensemble, à surmonter leurs craintes : manquer de ressources, quitter leur zone de confort, rompre avec leur routine rassurante… Ce besoin de donner plus de sens à leur vie les conduit à comprendre qu’ils ressentent un désir profond de participer à l’émergence d’un nouveau monde.


Après avoir exploré différentes régions de France, c’est en Dordogne qu’ils ont un véritable coup de cœur. Ils finissent par y créer un écolieu qu’ils baptisent “Eco Terra Vivance Attitude” et “où se fera la rencontre entre l’humain et la nature”.


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Source : Info Durable